Je lis en ce moment le deuxième livre d’Emily Nagosky « Jouir en chœur » qui concerne la segsualité des couples. Elle parle notamment des moyens d’érotiser ou stimuler la libido. L’un d’entre eux est le jeu.

On ne le dira jamais assez, la segsualité se nourrit de légèreté, de jeu, c’est le bac à sable des adultes. Donc jouez, à n’importe quoi, des jeux de sociétés, il y a maintenant une offre de qualité dans les jeux adultes, Google est votre ami, des jeux physiques comme le « playfight » ou la lutte érotique, à cache-cache, à chat couleur que sais-je.

Je ne parle pas spécifiquement de jeux coquins mais de toutes sortes de jeux. Le jeu provoque une stimulation et une excitation propice à installer le désir d’intimité. L’envie de gagner, la joie de gagner, la rage de perdre provoquent un réveil émotionnel favorable. Le jeu est sans enjeu, on joue pour le plaisir, et justement cet apport de dopamine dans votre système peut alimenter l’envie d’en avoir encore plus avec de la segsualité. Le jeu nous coupe de nos préoccupations quotidiennes, il installe de la complicité, c’est un moment partagé de qualité, du rire parfois. C’est un temps où les deux partenaires sont en lien. Bref tous ces ingrédients qui favorise la libido notamment la libido circonstancielle.

Alors plutôt que de caresser l’écran de votre smartphone, installez cette habitude de jouer avec votre partenaire ! Et dites-moi comment vous vous êtes senti-e-s après une partie, comment était votre lien à l’autre. Car c’est souvent la qualité du lien qui est un facteur prédictif de la libido, surtout chez les femmes, mais pas que.